Le 17 janvier 1975 la loi Veil autorisant l’IVG était promulguée. À l’époque, le projet de loi a été défendu par Simone Veil, ministre de la Santé, devant le Parlement composé de 490 députés, seulement 9 étaient des femmes. 

En mars 2024, “la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse” a été inscrite dans la Constitution dans un contexte d’inquiétude autour de ce droit qui recule dans plusieurs pays du monde. 

Pourtant l’accès à l’IVG n’est pas toujours acquis. Un baromètre Ifop publié en septembre dernier révèle que des freins persistent en France. Réduire la stigmatisation et développer des structures dans les déserts médicaux et les zones rurales font partie des actions urgentes à mener.

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