"Cette semaine, le propriétaire Frank McCourt et le président du conseil de surveillance Jeff Ingram ont accueilli aux États-Unis le président Pablo Longoria, le directeur du football Medhi Benatia (et) l'entraîneur Roberto De Zerbi (...) pour une réunion de travail concluant une saison 2024-2025 marquée par l'atteinte de l'objectif majeur, la qualification en Ligue des champions", avec la deuxième place au classement final, derrière le Paris SG, écrit le club dans ce courrier.

"Ces deux jours d'échanges ont permis de consolider et de réaffirmer l'unité des dirigeants autour d'une vision commune, essentielle à la pérennité du projet lancé à l'été 2024". Lors de l'arrivée du technicien italien à Marseille, en provenance du club anglais de Brighton.

L'accord entre toutes les parties a été confirmé à l'AFP par deux sources au sein de la direction du club marseillais. "Oui, ça a été de bonnes conversations", a déclaré une de ces sources à l'AFP.

Dans son courrier aux supporters, l'OM réaffirme par ailleurs l'"engagement" et l''alignement total de l'ensemble des dirigeants du club, déterminés à relever les défis passionnants à venir, au premier rang desquels celui d'installer durablement le club en Ligue des champions, saison après saison".

Le 17 mai, après le dernier match de la saison, gagné face à Rennes, De Zerbi, arrivé à l'OM au début de la saison, pour un contrat de trois ans, avait expliqué vouloir rester, tout en répétant plusieurs fois qu'il devait discuter avec sa direction pour analyser la saison qui vient de se finir et préparer la prochaine.

"La volonté de rester est là, à 100%. Mais ça a été une saison très dure pour tous. J'aime bien le bazar, les polémiques, toute cette ambiance. Mais il faut discuter de comment s'est passée la saison. Il y a sans doute des choses qui n'ont pas plu au club, et d'autres à moi", avait expliqué l'Italien, huitième entraîneur olympien depuis 2020 et le Portugais André Villas-Boas.

Deux jours plus tard, le président du club Pablo Longoria avait dit vouloir "continuer avec Roberto de Zerbi", affirmant que "c'est la volonté commune de toutes les parties".

 

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