Martigues
-
Faits divers
Martigues : des chiens qui présentaient un danger mis en fourrière, le propriétaire interpellé1min
Par Maritima 13/03/2025 à 06:00
Après de très nombreuses plaintes des riverains du centre-ville, les chiens ont été mis en fourrière hier matin. Pendant l'intervention, le propriétaire a outragé les policiers municipaux. Il a été interpellé et présenté au commissariat.
Une pétition circulait en centre-ville de Martigues. Elle avait recueilli plusieurs dizaines de signatures contre ce propriétaire de chiens qui les promenait en meute et non attachés. Plusieurs plaintes et mains courantes avaient aussi été déposées depuis le mois de septembre contre cet homme qui refusait de ramasser les déjections de ces animaux, ne les tenait pas en laisse, avait un langage grossier, un comportement virulent et menaçant,...
Plusieurs fois, ses chiens avaient attaqué d'autres animaux du quartier. Ils avaient aussi été lâchés devant une école. Après plusieurs procès-verbaux établis, la ville de Martigues a finalement mis en place une procédure pour placer les animaux en fourrière, le propriétaire n'ayant jamais donné suite au courrier lui demandant de faire dans un délai de quinze jours une formation sur l'éducation canine et une évaluation comportementale des chiens.
L'arrêté municipal indique que, selon l'article 211-11 du Code rural, si à l'issue d'un délai de garde de 8 jours, le propriétaire "ne présente pas toutes les garanties quand à l'application des mesures prescrites" pour éviter les dangers pour la sécurité publique, les animaux pourront rester placés dans un lieu de dépôt adapté ou être euthanasiés, après avis d'un vétérinaire.
photo illustration
A lire aussi

Saint-Martin-de-Crau
-
Faits divers
Narchomicide d'un adolescent : cinq personnes, dont un mineur, en détention provisoire

Martigues
-
Faits divers
Martigues : le lycée Jean Lurçat évacué

Aix-en-Provence
-
Faits divers
Un homme potentiellement armé recherché à Aix-en-Provence

Métropole d'Aix-Marseille-Provence
-
Faits divers
RTM: une campagne “choc” contre les agressions des agents