Face au tollé suscité par ces propos, notamment sur la qualité des candidates sélectionnées, Julie Zitouni a rapidement pris la parole, sur sa page Instagram, pour présenter ses excuses et clarifier la situation.

Des propos « maladroits » et un mot controversé
Dans un communiqué posté pour réagir "immédiatement" à la fuite de la vidéo, Miss Provence reconnaît des propos jugés "maladroits" qui "ne reflètent absolument pas ce que je pense des candidates".
Elle s’est notamment justifiée sur l'utilisation d'un mot controversé (qu'elle a écrit en utilisant l'abréviation "p*te" dans son texte), affirmant l'avoir employé dans un "sens familier", signifiant simplement "les veinardes", "les chanceuses".
"Ce n'était pas une insulte. Mais ce n'est pas un vocabulaire qui a sa place dans Miss France, et je le reconnais entièrement," a-t-elle déclaré. "Je comprends que cela puisse choquer, et je m'en excuse sincèrement."
Un regret de blesser ses amies
Julie Zitouni a ajouté que la situation était d'autant plus regrettable que "la grande majorité du Top 12 est composée de candidates que j'affectionne profondément, des filles avec qui j'ai créé de vraies affinités" durant l'aventure. Elle a assuré n'avoir "jamais voulu qu'elles se sentent visées ou blessées".
L'ancienne candidate a également précisé qu'elle respectait "sincèrement celles qui ont été choisies" et qu'elles le "méritent totalement". Elle a même révélé qu'elle avait elle-même expliqué lors de la présélection ne pas souhaiter intégrer le Top 12, ayant compris qu'elle ne pourrait "assumer ce rôle avec toute l'exigence qu'il demande".
Miss Provence affirme avoir contacté les candidates concernées pour leur présenter directement ses excuses dès que la vidéo a été rendue publique, remerciant celles-ci pour leur "compréhension". Elle conclut en assumant "la responsabilité de cette maladresse" et regrette que ses mots aient été "interprétés comme un manque de respect car ce n'était absolument pas mon intention".