France
-
Politique,
National
Présidence du groupe Renaissance : Gabriel Attal seul en lice1min

Par Jean-Michel Darras12/07/2024 à 13:38
Le Premier ministre Gabriel Attal, est seul en lice pour présider le groupe Renaissance à l'Assemblée nationale, a-t-on appris auprès du groupe, un vote formel étant prévu samedi matin.
Vendredi à 12H00, date butoir prévue pour le dépôt des candidatures, Gabriel Attal était l'unique candidat. Le chef du gouvernement était à la mi-journée à l'Elysée pour une réunion autour d'Emmanuel Macron et des principaux chefs de file de Renaissance, dont le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, un temps pressenti comme candidat à la présidence du groupe mais qui pourrait briguer celle du parti.
Gérald Darmanin a pour sa part estimé vendredi, dans un message aux députés Renaissance, que l'élection de Gabriel Attal, seul candidat à la tête du groupe présidentiel, ne réglait ni "la ligne politique" ni "le fonctionnement du parti", alors que les leaders de Renaissance sont réunis à l’Élysée autour d'Emmanuel Macron. "Les élections au sein du groupe ne règlent cependant en aucun cas les deux problèmes majeurs qui sont les nôtres: notre ligne politique, notre projet pour les Français et l'examen critique de notre action, de notre méthode et de notre bilan", et "le fonctionnement du parti et la nécessaire représentation des territoires et des sensibilités", écrit, selon plusieurs sources, le ministre de l'Intérieur, réélu député dans le Nord et finalement pas candidat à la présidence du groupe.
avec © Agence France-Presse
Tags :
A lire aussi

France
-
Politique
Le Conseil d'Etat rejette le recours de Marine Le Pen contre son inéligibilité immédiate

France
-
Politique
Le gouvernement soumettra "en novembre" au Parlement la suspension de la réforme des retraites (Lecornu)

Marseille
-
Politique
Municipales à Marseille : les écologistes votent pour reconduire la coalition de gauche

France
-
Politique
Sébastien Lecornu devant l'Assemblée nationale : suspension de la réforme des retraites, fiscalité, 49.3,... les temps forts de son discours